histoire Le chemin de la destinée

Mon nom est Galacia, je suis une elfe, mais je ne sais pas de quelle race. J’ai été élever par un groupe d’elfe des bois (Sylvestre) depuis ma plus tendre enfance, je n’ai aucun souvenir de ce que pu être ma vrai famille. Je n’ai que des flashes par moment. Je viens a peine atteindre mes 120 ans, je suis enfin en âge d’être marier et on m’as promise au fils d’un riche marchand, mais moi je ne veux pas de cette vie, je suis pas faite pour vivre dans une hutte en haut d’un arbre, je veux vivre et être libre, libre comme le vent de courir dans les chant de chanter comme les oiseau se chant de liberté. Je veux retrouver les miens, ceux qui sont comme moi. Mais ceux qui m’ont trouvé enfant disent qu’ils ont disparut en m’abandonnant, mais je ne sais pas je n’y crois pas vraiment. Je décida donc de fuir en pleine nuit, 3 jours avant mon mariage avec le fils du marchand qui ne m’aime pas pour ce que je suis, il ne vois que mon physique et m’en veut car je l’ai toujours repoussé avec dégoût. Il s’est jurer qu’il m’aura kit à m’épouser et s’est ce qu’il compte faire. Il fessais nuit noir quand je partit un vent glacial souleva ma cape et déplaça ma mèche rebelle devant le coter gauche de mon visage voilant ainsi ma peine de quitter ceux que je commençais a considérer comme ma famille. D’un pas léger, je partis au travers les bois fessant attention de ne laisser aucune trace de mon passage, car je sais très bien qu’on allait sûrement se lancer à ma recherche. Je savais très bien que Ronaldo n’allais pas me laisser fuir aussi facilement. Je marcha pendant 4 nuits et jours sans dormir me reposant que pour manger un morceau ou boire. Fessais déjà près d’un mois que j’errais à la recherche des miens n’ayant qu’une fois de temps en temps des indices de passants ou d’aubergistes ayant quelques vaguent souvenir d’un passage de groupe d’elfes qui me ressemblais, mais que cella remontais a y a très longtemps avant même leur naissance ou celle de leurs pères. Parfois, j’arrêtais dans un village et je travaillais dans les auberges pour y gagner un peu de quoi me nourrir et m’habiller. Je chantais tout les soir pour distraire les voyageurs ma voix étais très apprécier, car elle étais douce et fluide quelque soit la langue dans la quelle je chantais. Les passants la trouvais calmante et les détendais beaucoup. Mais plus le temps avançait et plus je désespérais de trouver ceux que je désirais plus que tout connaître. Je commençais a déprimer et cela se ressentais beaucoup dans mes chant car je ne chantais que des histoires triste. Je repris donc ma route en me disant que je fessais un denier village que je ne pouvais plus continuer ainsi et que la vie seul me pesais trop. Plus le temps passait et plus mon cœur devenait lourd mais j’essayais de garder espoir, l’espoir de les voir un jour. Comme le temps passais et qu’on n’étais pas partit a ma recherche je baissa ma garde et je devin moins craintive et je fit moins attention car je n’avais plus peur qu’on me trouve de toute façons j’étais a des milles de leur villages. Un soir ou je chantais dans une taverne d’une petite ville mon regard fut subitement attirer par un voyageur qui venais a peine de rentrer dans la salle. Nos regard se croisât et je rougis légèrement et me sentit énormément troubler pourtant je ne voyais rien de son visage qui étais camoufler par sa capuchon de sa grande cap. Il était de grande stature, et tout en sa personne représentais la puissance, mais on ressentait aussi beaucoup de solitude de souffrance et de détresse. Cette nuit là, je n’arriva plus à dormir mon existence devenais lourde et insupportable, je partit donc marcher dans les bois qui étais très près de cette ville. Je marcha très peux quand subitement je fut attaquer par les hommes de main de Ronaldo et Ronaldo lui-même. Je ne fut pas dure a maîtriser ne m’ayant pas entraîner depuis des mois. Ils me frappèrent jusqu'à ce que j’en perde conscience et me transporta jusqu'à leur camp. Quand je repris conscience Il était là assis devant moi un sourire mauvais et me crachant au visage son venin et m’insultant comme une moins que rien. Cette nuit là, il me pris de force en espèrent me soumettre a lui.

Quand il me lâchât enfin je pleurais et ne voulais plus qu’une chose c’était de mourir de e nouveau on m’attachât sûrement de peur que je m’enfuie de nouveau mais j’en avais même plus la force. La vie me dégoûtait, je me suis même mise à haïr mon corps. Fessais peut être un mois que j’avais croiser cette inconnu dans la taverne mais pourtant son regard plein de douceur et de mélancolie me hantais encore et je m’accrochais bizarrement a ce souvenir quand Ronaldo asservissais s’est vile instinct de prédateur sur moi. Je ne me débattais plus et je suivais le groupe ne cherchant plus a fuir j’étais casser et blesser en moi-même. Même le souvenir du regard de l’inconnu commençais a s’atténuer. Ronaldo voyant cela diminua beaucoup sa garde me laissant errer dans le camps quand on en dressais et croyais m’avoir dominer voyant que je ne fuyais plus mais il restais insatisfaits car je restais toujours aussi dégoûter de lui et souvent il leva la main pour que je plie et réponde a s’est caresse, mais encore là il ne gagnais rien car je restais sans bouger et recevais coup après coup ne montrant même pas ma douleur. Une nuit ou il étais encore plus soul que les autres ils s’endormi direct après l’acte et de m’avoir violenter. Comme tout le camp était endormi sauf moi je décida de m’en aller et aussi de mourir car je ne pouvais plus supporter cela. Je me rendis en haut d’une chute là haut le vent étais doux et sentais bon le vent gonfla ma robe et repoussa mon capuchon de mon visage libérant ainsi ma chevelure d’ébène a la lueur de la lune on pouvais voir mais larme couler sur mes joue bleuit par les coup. Doucement, je me mis à chanter dans une langue que je ne connaissais pas, mais je savais que s’était un beau chant. C’étais un chant d’un autre temps, d’un autre monde venant de souvenir qui étais tout au fond enfuit dans mon cœur. Comme je décida de me laisser tomber du haut de la chute quelque chose me souleva du sol et me propulsa un peux plus loin. Le choc fut si fort que je perdis conscience. Quelque instant plus tard je m’éveilla dans une grotte je ne ressentais pas de peur. Je n’avais plus ma cape sur moi mais je ne cherchais pas a savoir pourquoi ni ce qui ‘étais arriver quand j’ai voulu me laisser tomber dans la chute. A la sorti de la grotte coulais l’eau de la chute, je devais sûrement me trouver derrière celle-ci. J’entendis des voient m’appeler dont celle de Ronaldo la panique commença a me prendre je craignais qu’on me trouve je recula et trébuchât sur une pierre pour tomber dans les bras d’un étranger qui bizarrement m’inspiras tout suite confiance il me fit signe de me taire et d’attendre ou j’étais. S’est alors que j’entendis la voix d’un des hommes de main de Ronaldo crier un peux plus loin qu’il avais retrouver ma cape en lambeau et que je devais sûrement être morte mon corps emporter par le courant que sa donnais rien de me rechercher et il repartir, j’entendis aussi Ronaldo ordonner de lever le camp. Je m’évanouis d’épuisement dans les bras de l’étranger. Quand je m’éveillât je reconnue les yeux de l’inconnu et j’y voyais tant de douceur et de tendresse et aussi une infinis tristesse. Je frissonnas de froid car mes vêtement étais tremper par l’humidité causer par la chute il le remarquât et d’une voix douce me dit d’aller m’étendre sur la paillasse au fond se la grotte. A peine étais-je étendu que je m’endormis il me rejoigna sur la paillasse et m’entoura de son bras protecteur tout en me réchauffant tout doucement. S’est tout contre lui que je m’éveilla, je n’avais aucune envie de le fuir je me sentais si bien et détendu je n’osais pas bouger de peur de l’éveiller. Dans son sommeille son capuchon étais descendu et je pouvais voir son visage. Une cicatrice lui barrait le visage mais il était d’une grande beauté. Rien en lui ne dégageais de violence au contraire il semblais être que douceur. Avec douceur je caressât son visage il m’attirais beaucoup et il ne m’inspirais aucunement la peur. Doucement, il s’éveilla et je le vis sourire mon cœur en cessât presque de battre par toute la douceur que j’ai pu voir dans s’est yeux. Il me pris la main et la porta tout doucement à ses lèvres et y déposa un tendre baiser. Ce geste qui étais si intime mais me semblais si familier et naturel avec lui. On parla longuement, étendu comme ça dans les bras l’un de l’autre ne recherchant rien d’autre que la douceur et la tendresse et en même temps l’oreille attentive de l’autre. Il me demanda pourquoi je n’étais pas rester dans la taverne ce soir là, il croyais que je l’avais fuit.

S’est alors que je lui dis que je ne l’aurais jamais fuit car tout en lui m’attirais et m’inspirais la douceur. Je le vis rougir et cela me fis un peux bizarre car jamais je n’avais vue un autre homme laisser paraître s’est
émotion, car les elfes qui m’avais élever étais plus tôt froid et calculateur. Il me demanda de lui expliquer pourquoi je voulais mourir pourquoi j’étais aussi malheureuse. Alors je lui raconta mon histoire de mon enfance de Ronaldo et de s’est regarde qui me déshabillais depuis mon adolescence. Puis je parla de ma fuite de mon village adoptif trois jours avant mon mariage forcer. De la fuite dans les foret et aussi de mes travails de chanteuse. Et enfin ce soir là, la première fois que je l’ai vue. A quelle point sont regard m’avais troubler puis je contact ma promenade au clair de lune car je n’arrivais plus a dormir. Et de l’attaque des hommes de mains de Ronaldo et de la violence de celui-ci et de tout le mal qu’il m’as fais pendant près de 3 mois. Quand je finit mon récit je me suis mise a pleurer rouler en paquet je pleura longuement puis je le senti très près de moi il me seras tendrement tout contre lui et me demanda pardon puis me chanta la même chanson que j’avais chanter avant de vouloir me laisser tomber du haut de l chute. Au matin, je me réveilla et ne le trouva pas a mes coté je ne m’en inquiétais pas car je savais qu’il allais revenir qu’il devais sûrement être partit chercher de quoi nous nourrir car cela fessais déjà trois jours peut être plus qu’on étais dans la grotte et on avais jamais manger on en ressentais même pas le besoin. J’alla donc au bas de la chute pour m’y baigner a l’attendant le retour de Laucian. L’eau était douce et fraîche et elle fessait un grand bien à tout mon corps endoloris par les coups que m’avais donné Ronaldo. Fessais déjà un moment que je nageais quand soudain je le vis plonger d’un petit promontoire et me rejoindre a la nage. Une fois rendu a moi il m’enlaça et m’embrassa. Je sentais tout s’est muscle contre mon corps. Et subitement j’eu envie d’être a lui corps et âme de lui appartenir pour toujours. Je lis le même désir dans son regard mais aussi de la tendresse et quelque chose de doux mais je ne savais pas quoi ni pourquoi je ressentais se chatouillis au cœur quand il étais près de moi et un pincement quand il s’éloignais. Ce sentiment étais l’amour jamais je n’auras crue qu’on pouvais aimé aussi fort une personne qu’on ne connaissais que très peu. A mon tour ce soir là je lui demanda de me raconter son histoire et celle de son peuple et race. Il le fit mais avec hésitation, il me parla longuement de sa race et des nombreuse émigration quelle avait fait mais aussi de la disparition de plusieurs membre lors d’un attaque d’elfe Drows. Et il me parla de sa vie à Alaminia ou il était le chef des armés du défunt rois et ami fidèle a la reine. Puis comme je regarda sa cicatrice a son visage je le senti distant et loin dans s’est penser s’est alors qu’il m’expliqua que s’étais une jeune elfe de bonne famille qui lui avais fais cela, quelle s’était servi de lui et rejeter par après quelle lui avais jouer avec le cœur pour qu’en faire de la purée et détruire ainsi les chance d’être un jour heureux. Il m’avoua qu’il avais horreur de son visage et que sa fessais maintenant 6 ans qu’il errait ici et là. Je pris son visage tendrement entre mes mains et je l’embrassa tendrement et je lui dis si bas que seul lui l’entendit que je l’aimais. Il me sera tendrement contre lui et me le dit aussi puis on s’endormit ainsi. Le lendemain a l’aube il me réveilla et me dit qu’on partais pour Alaminia qu’une surprise m’y attendais et aussi qu’une vie de joie et d’amour m’y attendais a ses coter. On chevaucha durant des mois s’arrêtant le soir venu puis repartant à l’aube. Plus le temps passait et plus nos sentiments grandissaient. Puis un soir de pleine lune ou je me reposais près d’un ruisseau il vint a moi et si agenouilla pris ma main dans la sienne. Les rayon de la lune éclairais son visage doucement et le rendais encore plus beau dans s’est yeux brillais un amour sans limite mais aussi de la peur. Il leva son regard vers moi et me demanda tout doucement si je voulais devenir sa femme sa voie tremblais d’émotion et il y avais aussi cette crainte d’être rejeter et un soupçons de désespoir. Je me mis a pleurer tellement j’étais émue par sa demande et je lui dit oui. Alors de son visage toute crainte s’évapora que rester le bonheur absolu et un amour sans limite. Il m’annonça qu’on était plus qu’a un jour de marche d’Alaminia mais qu’il allait passer avant moi pour aller me chercher une monture et aussi des vêtements plus dignes de moi car ma robe commençait à tomber en lambeau. Je m’endormi dans s’est bras a bout de force par autant d’émotion.

Plusieurs jours passèrent sans que j’aie eu des nouvelles de Laurian, sa présence me manquait amèrement. 4 jours plus tard il apparut avec un bel étalon blond cendré jamais je n’avais vue une aussi belle monture. Il s’excusa d’avoir été absent aussi longtemps mais qu’il a du voir la reine trop heureuse de le revoir enfin de retour. Il me donna le nécessaire pour me faire une toilette et et me changer. Le soir même on arriva à Alaminia, toute la ville s’était réunie pour nous accueillir à l’entrer. Bizarrement j’avais l’impression d’être enfin rentrer chez moi. Puis on me conduit au palais de la reine pour m’y présenter, devant elle je m’agenouilla puis dune voie douce elle me dit de me relever et de venir à elle car elle ce faisais vieille. Quand je m’approcha d’elle je la vis pleurer, et elle me tendit un portrais d’elle il y a 115 ans elle étais accompagner d’un jeune homme et d’une jeune enfants. Sur le portrais elle me ressemblais énormément et s’est alors que je compris que la petite fille s’étais moi et elle ma mère. Elle me tendit les bras et me sera tout en pleurant de joie. Puis elle me dit qu’elle consentait à mon mariage avec Laurian qui a toujours été un ami fidèle de la famille. Le mariage fut somptueux et rempli d’émotion jamais on avais un couple aussi amoureux l’un de l’autre. Quelques années plus tard naquit leur premier enfant et ils l’élevèrent dans l’amour et la douceur.

Bonne lecture a tous j'ai laisser hier et aujourdhui trois de mes nouvelle litéraire que jai écrit bientot jen rajouterai car je prépare une cronique.

Purée c'est long ; t'as du en mettre du temps pour ecrire tout ca !!!

non deux heures au total quand je suis inspirer sa écrit tout seul.

t'as de la chance d'ecrire aussi vite toi....moi, quand je le fais, je choisis bien mes mots, je forme bien les lettres, et je relis aussitot pour voir si c'est as trop long ou pas trop court, si ca sonne bien...et patati et patata Razz

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